Maison de santé à Pierrefort, un projet nécessaire
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La création d’une maison de santé à Pierrefort est inscrite dans le projet de territoire de saint-Flour Communauté.
Mardi, l’ensemble des acteurs s’est réuni pour faire le point sur ce dossier primordial pour le pierrefortais et sa population. Cette maison de santé viendra conforter la maison de retraite, le centre de traitement des cérébrolésés, ou encore le centre de la Devèze à Paulhenc qui représentent plusieurs centaines de lits médicalisés.
Un même lieu d'accueil
Construit à proximité de la maison de retraite, sur un terrain communal, cet établissement accueillera le cabinet de médecine générale, un kinésithérapeute et le cabinet infirmier, déjà présents sur la commune. Ils seront ainsi regroupés en un même lieu fonctionnel. De plus , l’établissement sera dimensionné pour l’installation complète ou partielle d’un second médecin et d’un dentiste.
Le projet doit être désormais précisé dans les plans et le montage financier de l’opération engagé pour la rechercher de subventions (DETR, contrat de ruralité, Région…). «Les loyers seront calculés sur le coût de l’opération déduit du montant des aides », précise Pierre Jarlier, président de Saint-Flour Communauté, venu à Pierrefort défendre ce dossier avec le maire Louis Galtier.
Trouver des solutions pour maintenir l'offre de soins
L’offre de soins est l’attente principale de la population en termes de service de proximité. Saint-Flour Communauté accompagne les professionnels à se maintenir sur le territoire, à recruter des successeurs ou de nouveaux praticiens. La communauté de communes a pour cela réalisé le Pôle Territorial de Santé à Saint-Flour et la maison de santé de Neuvéglise sur Truyère. Elle étudie aujourd’hui, en plus de la construction d’une maison de santé à Pierrefort, l’extension de celle de Valuéjols.
« Dans le cadre du Contrat Local de Santé, nous réfléchissons aussi à trouver des solutions de en matière de recrutement de professionnels. La création d’un centre de santé intercommunal avec une activité de médecins salariés est une piste», complète Pierre Jarlier.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]